Le 26 mai dernier, quatre vingt douze personnes ont été placées en garde à vue suite au démantèlement d’un réseau d’échanges d’images pédopornographiques.
La Fondation pour l’Enfance vient d'annoncer que, pour la 133ème fois, elle se constituera partie civile.
"Sur Internet, les risques d’atteinte aux mineurs sont de deux ordres : la diffusion d’images et le recel de pornographie infantile (ou pédopornographie) d’une part et l’utilisation du réseau aux fins de préparer ou de commettre des atteintes sexuelles sur des mineurs", indique cette organisation. Au nom de la défense des droits de l’enfant et face aux dangers que peut représenter Internet, depuis 2004, la Fondation s’est portée partie civile 133 fois dans le cadre d’affaires de cyber-pédocriminalité.
La Fondation pour l’Enfance vient d'annoncer que, pour la 133ème fois, elle se constituera partie civile.
"Sur Internet, les risques d’atteinte aux mineurs sont de deux ordres : la diffusion d’images et le recel de pornographie infantile (ou pédopornographie) d’une part et l’utilisation du réseau aux fins de préparer ou de commettre des atteintes sexuelles sur des mineurs", indique cette organisation. Au nom de la défense des droits de l’enfant et face aux dangers que peut représenter Internet, depuis 2004, la Fondation s’est portée partie civile 133 fois dans le cadre d’affaires de cyber-pédocriminalité.
La voix des enfants victimes
Elle se fixe ainsi pour objectif de faire entendre la voix des enfants victimes de ces viols et dont beaucoup restent non identifiés à ce jour. Dans chaque affaire, elle est représentée,par Maître Olivier Baratelli, avocat associé du cabinet Lombard.
40 condamnations ont déjà été prononcées : elles varient de 3 à 36 mois d’emprisonnement, parfois assortis du sursis. L’opération « Icebreaker » par exemple, en juin 2005, avait conduit à l’arrestation et au jugement de 36 personnes réparties dans treize pays.
Elle se fixe ainsi pour objectif de faire entendre la voix des enfants victimes de ces viols et dont beaucoup restent non identifiés à ce jour. Dans chaque affaire, elle est représentée,par Maître Olivier Baratelli, avocat associé du cabinet Lombard.
40 condamnations ont déjà été prononcées : elles varient de 3 à 36 mois d’emprisonnement, parfois assortis du sursis. L’opération « Icebreaker » par exemple, en juin 2005, avait conduit à l’arrestation et au jugement de 36 personnes réparties dans treize pays.
A Rouen en mai 2007, deux prévenus ont été condamnés à des peines de quatre et cinq ans d’emprisonnement.
Alerter les pouvoirs publics, sensibiliser les parents, former les professionnels
La Fondation pour l’Enfance mêne aussi des actions de sensibilisation et de formation : des rencontres européennes des Praticiens de la Justice des Mineurs des opérations de sensibilisation sur le thême « Sur la Toile, méfie-toi des pièges ! » avec la distribution de 800 000 tapis de souris, en partenariat avec les ministères concernés, les associations spécialisées et 13 entreprises privées. Les élèves de CM2 se sont aussi vus remettre "les 10 commandements de l’internaute prudent". En 2007, 300 professionnels ont participé à un colloque au titre évocateur : « Internet : un jeu d’enfants ? ».
Plus d’informations sur le site internet de la fondation -
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