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Les enfants, les médias et internet : une enquête du CLEMI

              À l’occasion du forum du numérique « Vos enfants, les médias et Internet », les 10 et 11 janvier à Lyon, le CLEMI présente les premiers résultats de son enquête nationale menée auprès des familles.  La montée en puissance de nos pratiques numériques a redéfini les contours de la parentalité et bouleversé les dynamiques familiales. Quelle attitude les parents peuvent-ils adopter face à l’infobésité et à la désinformation ?  Pendant deux mois (novembre-décembre 2016), le CLEMI a mené une enquête nationale en lien avec le Réseau Canopé pour faire un état des lieux des pratiques, des doutes et des interrogations des parents sur le rapport que leurs enfants entretiennent avec les médias et Internet. Si l’échantillon constitué dans le cadre de cette enquête n’a pas l’ambition d’être représentatif, celle-ci a le mérite d’offrir une vision de terrain sur l’impact des médias et d’Internet dans les vies des familles.   Familles et Éducation aux Médias et à l’Inform

Çà sert à quoi, des parents ?

              Notre vision de l'enfant a profondément évolué ces dernières décennies. Après la Seconde Guerre mondiale, les psychiatres ont été confrontés à de nombreux enfants séparés de leur mère. Petit à petit, ils en sont venus à comprendre que plus un enfant était « sécurisé » par ses parents au début de son existence, plus il était « armé » pour sa vie future.  La problématique de l' « attachement » , mise en évidence après-guerre, considère ces premiers liens comme un véritable « système immunitaire » … Évident, me direz-vous ? Et pourtant, nous sommes encore loin d'en mesurer les implications dans le cours de notre vie : développement de la personnalité, scolarité, vie professionnelle, vie de couple…  Il n'existe aucun ouvrage grand public sur ce sujet qui touche pourtant tout le monde ! Le livre est disponible dans la librairie en ligne de LYFtv -  A découvrir : La version pour téléphone mobile de notre chaîne YouTube

H1N1, des risques accrus pour les femmes enceintes

L'Organisation Mondiale de la Santé vient d'annoncer qu'une étude publiée aux États-Unis, le 29 juillet dans la revue The Lancet a attiré l’attention sur le risque accru d’atteinte sévère ou mortelle chez la femme enceinte infectée par le virus pandémique H1N1. Plusieurs autres pays, où l’on observe une transmission étendue du virus pandémique, ont aussi signalé un risque accru pour les femmes enceintes, en particulier au second et au troisième trimestres de la grossesse. On a également fait état d’une augmentation du risque de mort du fœtus et d’avortements spontanés. Risque accru pour les femmes enceintes Les données ressortant des pandémies précédentes étayent selon l'OMS "la conclusion que les femmes enceintes sont exposées à un risque plus élevé". Alors que les femmes enceintes sont aussi exposées à un risque accru pendant les épidémies de grippe saisonnière, le risque prend une importance supplémentaire avec la pandémie actuelle, qui continue de touche

La non représentation d'enfants est en augmentation

La mise en place du numéro unifié dans dix pays européens ( voir article dans nos pages nationales ) pour la recherche des enfants disparus met en évidence la multiplication des enlèvements parentaux ces dernières années. Les derniers cas de déclenchement du dispositif d'Alerte enlèvement ont rappelé ce phénomène : depuis sa création en 2004, SOS Enfants Disparus a vu augmenter considérablement le nombre de saisines liées à des enlèvements parentaux. En 2008 les enlèvements parentaux ont augmenté de 49 % par rapport à l’année précédente avec 94 dossiers supplémentaires traités. Pour la première fois, le nombre d’enlèvements parentaux traités est supérieur à celui des fugues. 116 dossiers traités par SOS Enfants Disparus concernent des situations sur le territoire national, notamment 48 cas de non-représentation d’enfants. Ces affaires douloureuses qui ponctuent de plus en plus souvent l’actualité ne doivent plus être traitées comme de simples conflits familiaux sans conséquences.

Pollution de l'air : "nos enfants nous accuseront !"

Selon une étude publiée par Le Parisien du 26 mars 2009, "l'air des crêches n'est toujours pas assaini. On y trouve des substances cancérigènes à des taux potentiellement dangereux pour les enfants". Et pourtant le problème n'est pas récent : nous republions ici un article diffusé il y a plus d'un an sur LYonenFrance.com : "Atmo Rhône-Alpes" est un organisme qui regroupe des associations agréées de surveillance de la qualité de l'air en Rhône-Alpes. Il vient de livrer un rapport inquiétant sur l’air respiré dans les salles de classe, en particulier dans les crêches et les écoles maternelles. "Nos enfants passent un quart de leur temps à l’école", rappelle le GIE Atmo Rhône-Alpes sur son site internet. L´étude qu´il publie porte sur l’air intérieur de cinquante établissements accueillants de jeunes enfants en 2006 et 2007. Menée conjointement par la direction régionale et les directions départementales des affaires sociales de Rhône A

A Lyon, le "baby boom" des maternités !

A Lyon, les difficultés financières de la sécurité sociale n'empêchent pas la réalisation de nombreux investissements hospitaliers. Entre les réorganisations des hôpitaux, les regroupements de cliniques, les rénovations de services et les constructions neuves, LYFtv-Lyon vous propose de faire le point sur les nouvelles maternités: L'Hôpital public Femme, Mère, Enfant des Hospices Civils de Lyon. Plus gros propriétaire foncier de l'agglomération, les HCL ont décidé de se défaire de plusieurs hôpitaux. Debrousse, certains secteurs de l'Hôtel Dieu et de l'Hôpital Edouard Herriot ont ainsi été regroupés au sein du pôle public Femme, Mère Enfant (HFME) qui a ouvert ses portes en 2008. Le bâtiment de 6 étages est immense et regroupe les personnels de pédiatrie des différents hôpitaux publics mais aussi l'activité de "gynéco-obstétrique" et de néonatalogie de l'hôpital Edouard-Herriot. Des services de réanimation et d' urgences "graves"

La France ne dépiste plus la surdité des nouveaux nés

Les 4 èmes rencontres scientifiques de Bron, consacrées à la surdité et aux problèmes d'audition, ont donné l'occasion de mettre en évidence les carences en matière de dépistage de la surdité chez les nouveaux nés. Alors que le dépistage est généralisé dans beaucoup de pays que l'on présente souvent comme moins protecteurs en matière de santé (Angleterre, Etats Unis...) , la France continue à trainer des pieds. Une attitude incompréhensible aux yeux des spécialistes, car les examens sont "rapides, fiables et peu onéreux" . Le test sur les nouveaux nés est particulièrement simple et se déroule durant son sommeil. On lui place trois électrodes sur la peau et un casque est posé sur ses oreilles. Un son très faible est alors envoyé dans le casque et les données sont transmises à un ordinateur. (Pour les enfants un peu plus grands -jusqu'à 24 mois - le test peut être effectué avec des jouets sonores). Le dépistage dans les maternités Pour Annie Moulin, du laborat