Le 26 mai dernier, quatre vingt douze personnes ont été placées en garde à vue suite au démantèlement d’un réseau d’échanges d’images pédopornographiques. La Fondation pour l’Enfance vient d'annoncer que, pour la 133ème fois, elle se constituera partie civile. "Sur Internet, les risques d’atteinte aux mineurs sont de deux ordres : la diffusion d’images et le recel de pornographie infantile (ou pédopornographie) d’une part et l’utilisation du réseau aux fins de préparer ou de commettre des atteintes sexuelles sur des mineurs", indique cette organisation. Au nom de la défense des droits de l’enfant et face aux dangers que peut représenter Internet, depuis 2004, la Fondation s’est portée partie civile 133 fois dans le cadre d’affaires de cyber-pédocriminalité. La voix des enfants victimes Elle se fixe ainsi pour objectif de faire entendre la voix des enfants victimes de ces viols et dont beaucoup restent non identifiés à ce jour. Dans chaque affaire, elle est représentée,p...
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